Marie-Anne Brideau, future sainte de Belfort
Le Pape a donné son accord à l’ouverture du procès de canonisation équipollente (c’est-à-dire sans nécessité de miracle) des 16 bienheureuses Carmélites de Compiègne, dont Marie-Anne Brideau, guillotinées en juillet 1794, pendant la Terreur.
Marie-Anne Brideau : une enfant de Belfort
Comme les habitants de Belfort le savent, une d’entre les Carmélites mortes à l’échafaud fut Marie-Anne Brideau, en religion sœur Saint Louis. Elle est née à Belfort le 7 décembre 1752 et a été baptisée 10 jours plus tard à l’église (actuellement cathédrale) Saint Christophe où un vitrail lui est consacré.
Sa béatification avec celle de ses compagnes eut lieu le 27 mai 1906 dans la basilique Saint-Pierre du Vatican, en présence du souverain pontife saint Pie X.
Les Carmélites cherchent des éléments
L’ouverture du procès accordé par le pape François, fait suite à une demande de la Conférence des Évêques de France, est soutenue par l’ordre du Carmel.
Il s’agit désormais de démontrer leur réputation de sainteté et les signes qui entourent ces Martyres dans le monde. Les Carmélites sont en recherche de tous les lieux (chapelles, églises, etc.) et groupes où ces Martyres sont particulièrement vénérées.
(Dans notre diocèse, outre la cathédrale, une statue de Marie-Anne Brideau se trouve dans l’église de Buc)
Vous pouvez signaler les éventuelles grâces obtenues par leur intercession, que vous en soyez vous-même les bénéficiaires ou une autre personne.
Merci de faire parvenir le plus rapidement possible tous ces éléments à l’adresse suivante : carmelitesdecompiegne@gmail.com, à l’intention de Mme Claire Millet ocds.