Instituée par le pape François et fixée au 33e dimanche du temps ordinaire, la septième édition de la Journée mondiale des pauvres aura lieu le 19 novembre 2023. Pour le Pape, « c’est une journée qui aidera les communautés et chaque baptisé à réfléchir sur la manière dont la pauvreté est au cœur de l’Évangile et sur le fait que, tant que Lazare git à la porte de notre maison (cf. Lc 16,19-21), il ne pourra y avoir de justice ni de paix sociale. »
Nous la célébrerons le 19 novembre 2023 à partir de 10h00 en l’église Saint-Maimboeuf à Montbéliard
Au programme de la Journée mondiale des Pauvres :
10h : Accueil café sur le parvis de l’église Saint-Maimboeuf
10h30 : Messe
Apéritif offert par la paroisse à la sortie de la messe
12h : Repas offert par le service diocésain de la solidarité : soupe et sandwichs
13h30 : début d’animations est ateliers au Foyer Saint-Maimboeuf (Chants, lecture de la parole, église verte…)
15h : connexion Zoom avec le pape François et d’autres lieux dans le monde qui célèbrent la Journée Mondiale des Pauvres pour un
temps du message du pape, des témoignages et prière de chapelet.
16h : fin de la journée
Message du pape François pour la septième Journée Mondiales des pauvres
« Ne détourne ton visage d’aucun pauvre » (Tb 4, 7)
Dans son message pour la VIIe Journée mondiale des pauvres, le Pape François invite à ne pas détourner le regard de ceux qui sont en difficulté, comme les enfants qui vivent dans les zones de guerre, ceux qui ne parviennent pas à joindre les deux bouts, ceux qui sont exploités au travail, et les jeunes qui sont prisonniers d’une culture qui leur donne le sentiment «d’être des ratés».
«Ne détournez pas votre regard des pauvres». À travers ce thème, qui fait référence au Livre de Tobie, le Pape propose une interprétation de la réalité qui consiste à reconnaître dans les plus fragiles «le visage du Seigneur Jésus», au-delà de la couleur de la peau, de la condition sociale et de l’origine. En lui, il y a un frère à rencontrer, «en nous débarrassant de l’indifférence et de l’évidence avec lesquelles nous protégeons un bien-être illusoire».