Les églises et chapelles
Chapelle de Bart : rue du Général De Gaulle (entre les numéros 60 et 62)
Chapelle de Bavans : grande rue (entre les numéros 17 et 19, en face de la place des fêtes)
Église de Dampierre-sur-le-Doubs : rue de l’église
Église de Voujeaucourt : 102 grande rue
Contacts
La cure est située au 102, Grande Rue 25420 Voujeaucourt.
Le secrétariat est ouvert :
le mardi, le mercredi de 9 h à 12 h.
Vous pouvez nous joindre au : 03 81 98 11 52
Pour toute urgence,
votre curé est à votre service au 07 58 86 22 52
Pour toute question, vous pouvez :
- soit nous écrire à l’adresse : paroisse-st-michel@diocesebm.fr
- soit pour une demande de baptême enfant : prepa.bapteme.enfant.st.michel@gmail.com
Offrandes
Les évêques de la région apostolique ont fixé les offrandes conseillées suivantes :
- messe : 18 €
- Mariage et obsèques : 160 €
- Baptême : 50 €
Demande de messe
Pourquoi faire dire une messe à une intention particulière ?
Toute messe est une action de grâce pour le sacrifice de Jésus qui réconcilie les hommes avec son Père. Une messe est donc toujours célébrée « pour tous ». Cependant, l’Église permet aux fidèles de s’associer plus étroitement à ce sacrifice en confiant au prêtre une intention particulière lors d’une célébration.
Le sacrifice de la messe est une eucharistie, c’est-à-dire une action de remerciement, de louange et de joie pour le sacrifice de Jésus qui réconcilie l’homme avec son Père. Il est offert en mémoire de l’Eucharistie que célébra Jésus-Christ lui-même une fois et pour tous : “Ceci est mon corps livré pour vous. Ceci est mon sang versé pour la multitude.”
L’Église permet aux fidèles de s’associer plus étroitement à ce sacrifice offert pour tous par une intention particulière confiée au célébrant, à qui on a toujours reconnu la possibilité de joindre cette intention particulière à l’intention générale.
La messe n’a pas de prix. Mais dès les origines, les fidèles ont voulu participer à l’Eucharistie par des offrandes en nature ou en espèces. Elles étaient destinées à assurer les frais du culte, la subsistance des prêtres, la vie de l’Église. C’est l’origine de la pratique des “honoraires de messe”, qui date du VIIIe siècle et qui s’enracine dans l’Ancien Testament où le prêtre recevait une part des sacrifices faits à Dieu. Le prêtre doit toujours pouvoir “vivre de l’autel”. Le code de droit canonique légitime cette pratique (C.945) et la réglemente (C.946 et suivants). La vie matérielle de l’Église et de son clergé repose donc sur cette contribution volontaire des fidèles. Faut-il rappeler que, depuis 1905 en France, “la République ne salarie aucun culte” – sauf en Alsace (départements 67 et 68) et dans le département de la Moselle (57) -.