1 Rue de l'Église, 90350 Évette-Salbert 07 52 21 60 52

La paroisse Saint Jean l’Evangéliste est issue de la fusion de deux paroisses : l’ensemble paroissial du Malsaucy, datant d’octobre 2001 et formé de la paroisse d’Évette-Salbert/Errevet et la paroisse de Lachapelle-sous-Chaux/Sermamagny

Créée le 27 novembre 2011, la paroisse Saint Jean fait partie du Diocèse de Belfort-Montbéliard-Héricourt. C’est une des quatre paroisses du doyenné de Giromagny-Rougemont le Château, au nord du Territoire de Belfort. Elle regroupe quatre communes : Evette-Salbert, Errevet, Lachapelle-sous-Chaux et Sermamagny.

Pourquoi le nom de Saint Jean ?

La proposition faite pour le nom de la nouvelle paroisse exprimait le souhait que ce nom ait un rapport avec le vécu des paroissiens ou l’histoire de notre ensemble de paroisses. Dans cet esprit, nombreux étaient les paroissiens à se souvenir que la vie de notre communauté avait été très marquée par le prêtre Jean VEIT.

Jean VEIT a été le prêtre de la paroisse d’Evette-Salbert pendant 22 ans jusqu’en 1995, année où il a été nommé à Danjoutin.

Jean VEIT a été le premier à être le Pasteur des quatres villages et il s’est beaucoup investi pour la création d’un ensemble paroissial harmonieux.

Jean VEIT, décédé en 2006, est resté très présent dans le cœur de tous les habitants de nos villages car il était  proche et aimé de tous, pratiquants ou non.

Le nom proposé pour la nouvelle paroisse fut donc tout naturellement : Paroisse Saint Jean

Qui est Saint Jean ?

Appelé Jean l’Évangéliste pour le distinguer de Jean-Baptiste, ce fils de Zébédée, frère de Jacques le Majeur, est pêcheur au bord du lac de Tibériade. Il est d’abord le disciple de Jean-Baptiste avant de devenir l’Apôtre de Jésus.

Il est le témoin, en compagnie de Jacques et de Pierre, de la Transfiguration de Jésus et de son agonie à Gethsémanie.

Très actif avec Pierre, dans les premiers temps de l’Église en Palestine, il s’exile à Patmos pour échapper aux persécutions des Romains. A Patmos il rédige l’Apocalypse puis part à Éphèse où il écrit les trois Épîtres qui portent son nom. C’est à Ephèse, également, qu’il écrit le quatrième Évangile.


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